Le gingembre, bon en novembre


Rien à voir avec l’accroche de mon article précédent, je n’ai pas l’intention de développer outre mesure les soi-disant propriétés érectiles et aphrodisiaques du gingembre…
Non, juste envie de vous partager ses vertus revigorantes l’hiver (presque) venu !

Des vertus revigorantes
Le gingérol, principal composé actif responsable du goût piquant du gingembre frais, a des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes bien connues et un potentiel anticancer. Il favorise la digestion, en activant la sécrétion de bile et l’activité de différents enzymes digestifs.
Il a même des propriétés antiémétique (capacité de prévenir ou d’arrêter les nausées et les vomissements, avis aux femmes enceintes).
Le gingembre est aussi très réputé pour ses propriétés stimulantes, tonifiantes et revitalisantes en cas de fatigue ou de manque d’énergie.

Gingembre versus ginseng : késako ?
Le ginseng est une racine, comme le gingembre, mais ils ne sont pas issus de la même plante et n’ont pas tout à fait les mêmes vertus.
Le ginseng permet de combattre stress et fatigue, d’améliorer la mémoire et la concentration, de renforcer le système immunitaire et la santé des séniors et de diminuer les troubles de la ménopause.

Quant aux prétendues vertus aphrodisiaques de ces deux racines… à vous de voir si cela fonctionne !

Des idées recettes
Le gingembre peut agrémenter de nombreux plats. Le tout est de doser car trop de gingembre tue le goût des autres aliments.
Par exemple, une copine m’a fait goûter une soupe de potimarron aux gingembre, citron et coriandre fraîche qui était très agréable.

Comme boisson, vous pouvez en râper un peu dans de l’eau chaude avec du miel, c’est une infusion digestive, fortifiante et nettoyante !

Et Noël approchant, vous pouvez en glisser de petits morceaux dans vos pâtes à gâteaux secs. J’ai même inséré de minuscules bouts de gingembre confit dans une pâte à pain mi-blé mi-sarrasin… résultat émoustillant garanti ! Excellent avec du fromage !

Alors en novembre et décembre… gingembrez-vous !

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Notre-Dame débande


Dessin de Floh, cliquez pour agrandir

Le conflit se durcit à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes et Ayrault tient sa position de violeur de lande sauvage.
Pourtant, de plus en plus gens et personnalités s’associant au combat, pourrait-il enfin débander ? Pas sûr…

Mégalopole rime avec mégalomanie
Forcément. En tant que maire de Nantes, Ayrault n’a eu de cesse d’inscrire ce projet d’aéroport « du Grand Ouest » en fer de lance de son mandat, sous prétexte de nécessité d’agrandissement de l’actuel aéroport et de besoin de rayonnement de Nantes.
Nantes, ville du Petit Lu, Ayrault la voyait déjà comme celle du Grand M’as-tu-vu. Et même vu du ciel tant qu’à faire !

Un projet dans l’air du temps… mais de quel temps ?
Où l’on raserait des hectares d’écosystème, où l’on exproprierait des ferme et des habitations de riverains, pour des raisons économiques – d’ailleurs très contestées – ?
Apparemment Jean-Marc Ayrault ne vit pas dans le même monde que nous. Dans son monde, il n’y aura jamais de pénurie de pétrole et surtout pas dans quelques années, le kérosène pourra continuer à flamber impunément l’atmosphère et nos poumons, et la croissance économique sera sans limite…
De quoi faire rêver les plus gros des capitalistes…

Veni, vidi… Vinci !
Car c’est bien tout l’objet : faire profiter les gentilles multinationales, les abonnés du CAC 40, les rois de la magouille et de l’entubage !
Vinci, joyeux gagnant du projet, a même prévu de faire une jolie ferme pédagogique à la sortie de l’aéroport pour recycler en clown vert les agriculteurs dont les fermes seraient coupées en deux par le bétonnage. C’est sûr qu’avec des arguments pareils, y a de quoi faire baisser l’opposition, déjà organisée sur place depuis 2009 !
Ils nous prennent pour des quilles, je vous dis ! Des quilles dans lesquelles ont fait des strike, évidemment !

Le temps de pause syndicale est passé
Alors, bien sûr, arrivé au gouvernement, Ayrault a laissé courir des rumeurs disant qu’il oubliait le dossier, qu’il avait d’autres chattes à fouetter.
Mais c’est connaître bien mal le roi de la fusée, le caïd aux ailes qui enflent : il s’est empressé de reprendre le dossier… et par derrière encore !

La lutte sur place a un arrière-goût de Jungle
Allez, envoyer les poulets ! De toute façon les avions ne circulent pas encore, même si certains se retrouvent à décoller, il ne devrait pas y avoir de collisions !
Ben voyons.

Sous Sarko, la gauche criait avec raison au scandale sur la façon dont les clandestins de la Jungle de Calais avaient été traités par les forces de l’ordre pour « régler » la situation. Pourtant aujourd’hui, en interventions policières sauvages, les mêmes semblent bien calés. Ca dure depuis le 16 octobre, alors ça commence à être un peu long pour être une mauvaise blague… Ou alors je ne comprends vraiment pas l’humour de Jean-Marc Ayrault !

2013, année Ayrault-hic ?
A force de voir ranimer le feu de la contestation sur le site créant sans cesse de nouvelles braises, Ayrault doit tout de même avoir un peu les aisselles qui chauffent. Et si ce n’est pas le cas, c’est Stéphane (Hessel) qui le met en garde aujourd’hui via le site Reporterre.
Il l’exhorte à considérer « que tout homme peut avoir des raisons de reconsidérer une position qu’il a prise, qu’il a prise sous je ne sais quelle influence particulière. » Et d’ajouter que les opposants « ne sont pas des voyous » mais « des gens qui réfléchissent« .

Alors M. Ayrault, prêt à réfléchir avec la tête plutôt qu’avec la bourse ? Pas sûr… mais l’avenir nous le dira !

Prochaine grande manifestation contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes : samedi à Rennes.

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Les courges se découvrent

Des courges pas bourges
« Courge » est un terme générique qui désigne les fruits du genre Cucurbita – même si on les cuisine généralement comme des légumes.
Et elles sont là, plein les étals, bonne chair mais pas chères, et nous ravissent de leurs formes diverses et appétissantes : citrouille, potiron, potimarron, pâtisson ou encore « sweet pumpking », « butternut »,…
Autant de noms poétiques que de saveurs subtiles et différentes !

Riches et vertueuses
Riches en vitamine A, fer, vitamine C, antioxydants (notamment bétacarotène), les vertus des courges vont de la prévention du vieillissement cellulaire, à la prévention des cancers, en passant par la protection des cellules du foie et des effets anti-inflammatoires.
Comme quoi, ça vaut le coup de se faire une courge !

Le potimarron, bonne pâte, belle peau
Pas besoin de peler le potimarron pour le mettre en soupe ! Sa peau réduit à la cuisson et se passe très bien au mixeur… cela diminue le labeur de l’épluchage et fait apprécier d’autant plus ce cucurbitacée à la chair qui a un petit goût de noisette.
Ne tentez pas l’expérience avec les autres courges, ça ne marche pas !

Des recettes faciles et chouettes
Les courges s’apprécient en soupe, purée, voire gâteaux et pains et bien souvent ces plats ne sont pas sorciers à préparés, même s’ils peuvent se déguster pour Halloween.
Pour les soupes, le mieux, le plus souvent, est de laisser dominer la courge : une fois pelée (sauf pour le potimarron), adjoindre deux ou trois patates et éventuellement une ou deux carottes à la cuisson. La butternut est délicieuse en purée (coupée avec de la pomme de terre), le potimarron peut se manger en gratin ou en quartiers frits dans de l’huile d’olive à déguster avec des fruits secs.
Toutes ces courges se déclinent aussi dans des cakes sucrés car leur chair donnent du moelleux et du goûteux à la pâte.

A propos de pâte, dans mes pains, j’ai déjà glissé aussi quelques filaments de chair de potimarron déjà réduits… c’est intéressant !

Lâchez votre imagination pour faire la course aux courges !

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Les pôles ont bon dos


les pôles ont bon dos… les ours polaires aussi !
Photo : Greenpeace

Les grands groupes pétroliers n’ont de cesse de vouloir forer sous l’Arctique et en Antarctique, c’est le sanctuaire de poissons qui fait baver ceux qui aimeraient y pêcher tranquille. Ben voyons, les gars, servez-vous surtout, n’hésitez pas ! Après tout, ce n’est pas comme si la Terre était à tout le monde…

Des groupes pétroliers complètement à l’ouest
« Du pétrole sur le Groenland, ce serait un désastre », même le PDG de Total le dit !
Et dans la foulée, la compagnie russe Gazprom a différé, pour des raisons de sécurité, le lancement de la production de pétrole du champ de Prirazlomnoye, premier champ pétrolier offshore de l’Arctique russe. Et Shell d’annoncer qu’ils repoussaient à 2013 leur projet de forage dans l’Arctique sous prétexte qu’une de leurs structures, conçue pour intervenir en cas de déversement pétrolier, serait endommagée.
Et pourtant ces groupes n’ont eu de cesse de répéter qu’ils savaient ce qu’ils faisaient… on voit qu’on peut leur faire confiance !

Le pôle Nord dans la ligne de mire
Report donc mais abandon apparemment pas. Et Shell a quand même intenté un procès à Greenpeace pour faire faire silence à l’ONG qui avait manifesté dans ses locaux en France et dans des stations essence aux Pays-Bas lors d’une journée d’action.
Motif : faire interdire à l’avance les manifestations. Mais le jugement rendu le 5 octobre garantit la liberté d’opinion de l’ONG, même s’il limite un peu les actions futures avec des conditions restrictives. Ainsi le blocage la prise d’essence ne pourra pas excéder une heure et dans des endroits non accessibles au public, comme les bureaux de Shell, les actions ne pourront durer plus de deux heures… ça va, ça laisse quand même le temps de défiler en ours polaire. Et ça sonne absurde, ces précisions, parce que c’est rare que Greenpeace fasse exactement deux fois la même action.

Le pôle Nord sens dessus dessous ?
C’est ce qui se profile inexorablement car d’autres groupes sont sur les rangs. BP, ExxonMobil et Eni, ne comptent pas lâcher leur morceau de pôle. Le pôle, c’est tendre, et ça fond, pas sous la dent, mais sous le coup du réchauffement, quelle aubaine !
Et puis tant qu’on y est, la fonte des glaces devrait permettre d’aller pêcher plus facilement. Ben oui, sauvons les phoques et les animaux qui sans leur glace ne sauront de toute façon pas quoi faire…
Pour un peu, les grands groupes passeraient pour des bienfaiteurs de l’humanité, pour les sauveurs du pétrole et de l’intérêt général.

Le pôle Sud à l’envers
Et si on allait pêcher plus au Sud ? Là-bas, la faune marine est une des derniers préservées ? Voilà une belle solution à la surpêche !
C’est en tout cas ce que pensent la Russie, la Corée du Sud et quelques autres pays qui menacent de voter contre le projet de sanctuaire porté par l’Australie, la France et l’Union européenne. La conférence, ouverte officiellement mardi à Hobart (île australienne de Tasmanie), a pour thème la création d’un système représentatif de zones de protection marine dans l’océan Austral.
Pour le coup, c’est le beau Leonardo qui se colle à la cause et parraine une pétition sur Avaaz pour sauver l’Antarctique.
Je ne sais plus que penser des pétitions car d’un côté, c’est un peu facile et ça donne bonne conscience, mais de l’autre, quand elles sont portées par des association sérieuses, elles peuvent avoir un réel impact, comme ce fut le cas de celle contre les OGM en Europe (même si depuis la lutte continue…).
A vous de voir !

Ce qui est sûr, c’est que si on se laisse désosser les pôles, nul ne sait où cela va s’arrêter…

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Les moissons du futur : cultivez-vous !

Les moissons du futur, dernier opus documentaire de Marie-Monique Robin diffusé hier soir sur Arte, ouvre la voix à l’agroécologie et ça fait du bien, de voir ainsi présentées concrètement des solutions d’avenir pour notre agriculture.
Là où Coline Serreau avait tracé l’esquisse dans Solutions locales pour un désordre global, Marie-Monique Robin plante les graines de savoir et fait germer les possibles.
Tour d’horizon en guise d’avant-goût.

Coloca-terre
C’est un fait : coexistent aujourd’hui sur la planète deux manières de cultiver la terre, deux manières de voir les choses.
D’abord l’agro-industrie, modèle prédominant qui laboure les sols et pratique la monoculture à grands renforts de produits chimiques, jugés nécessaires pour éliminer les parasites et mauvaises herbes.
Mais qui fragilise et tue, et les sols et les gens, on commence à le savoir maintenant.

Ensuite, le modèle agroécologique ou biologique, qui mise sur la complémentarité des cultures pour faire pousser des plantes sans adjuvants chimiques et rendre les cultures résistantes aux intempéries.

Question de culture

Dans le deuxième cas, le sol est riche d’humus et de vie, et les plantations vertes et belles.
C’est d’ailleurs frappant de voir dans le film la différence entre la plantation mexicaine de maïs, verte et foisonnante, cultivée sous le régime de la Milpa, et celle, transgénique, triste et sèche de cet Américain, qui déplore lui-même l’usage toujours croissant de pesticides pour endiguer les problèmes.
Problèmes ? Dans leurs cultures harmonieuses, les Mexicains n’en ont juste pas !

Cultivateur en son pays
Croiser la culture de plantes complémentaires et miser sur l’interaction entre plantes, cultivateurs et animaux permet d’éloigner les parasites, dompter les mauvaises herbes et stoquer dans le sol ce dont la plante a besoin.
Et ce modèle est efficace partout, à condition de l’adapter aux circonstances et aux impératifs locaux. Etudier le terrain et déterminer comment faire pousser au mieux les cultures grâce à la synergie des plantes, cela n’a rien de vieux ni de dépassé. C’est une science et ça s’appelle l’agroécologie !
Autre exemple en Afrique, au Malawi, où l’arbre Gliricidia permet de faire pousser le maïs. « Aux arbres, citoyens ! », devrait donc être notre seul cri de guerre.

Cultivons, nous !
Et, à l’instar de ce cultivateur japonais, il faut redonner à l’agriculture un visage humain et de partage.
Il fut parmi les premiers à faire partie des teikeis, ancêtres des AMAP impulsées dans les années 70 par des mères de familles japonaises soucieuses de donner à leurs enfants des produits sans pesticides. Et demandeuses de lien entre le paysan et le consommateur.
Aujourd’hui, l’agriculteur japonais a poussé loin son modèle d’agroécologie autonome et parvient même à être indépendant énergétiquement en recyclant en méthane les excréments animaux et humains et en filtrant les huiles végétales obtenues sur la ferme. Il ne manque pas d’ailleurs de faire allusion à Fukushima et aux perspectives d’avenir incertaines en matière énergétique…

Les citoyens vont ensuite sur son terrain mettre la main à la pâte et aider à planter le riz.
Et on sait, et on sent, que l’avenir est là, dans ce concentré d’existence et d’autonomie, cultivée et partagée…

Reste que pour étendre le modèle, il faut de réelles décisions au niveau politique, donc restons mobilisés et faisons valoir nos choix !

Et d’abord en passant le mot sur le film :

A voir pendant 7 jours sur Arte+7 ! …et peut-être en projection près de chez vous.

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Mon one woman show écolo à Genève ce samedi 13

Mon spectacle sera au festival Tendances de Genève (Chêne-Bougeries) ce week-end !

Il sera donc donné devant des Suisses de petite taille (des petits Suisses)… et des grands aussi, évidemment !

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OGM, Oh j’aime encore moins !


L’affiche de France Nature Environnement qui avait fait du bruit..
maintenant, le recul on l’a… et ce n’est pas triste !

Les rats sur le grill
L’étude de Gilles-Eric Séralini révélée le 20 septembre a remis les OGM sur la sellette en montrant leur impact sur la santé de 200 rats qui ont développé des cancers des seins, du foie et des reins.
Et franchement, ce n’est pas beau à voir… pour prouver la nocivité des OGM, c’est même rat-dical !

Les chercheurs sur le grill
Le professeur Séralini et d’autres chercheurs (comme la chercheuse italienne Manuela Malatesta) et lanceurs d’alerte (comme notre national Christian Vélot) sur les OGM ont déjà payé le prix fort pour oser s’attaquer au produit phare de Monsanto : diffamation, menace, perte de crédits de recherche, de labo, etc.
C’est pourquoi le Pr Séralini a décidé de mener ces nouvelles recherches en catimini pendant deux ans… tout de même soutenu par le CRIIGEN (présidé par Corinne Lepage).
Après la recherche privée, la recherche en privé !

Le débat sur le grill
Le débat fait rage et des pseudos scientifiques à la solde des multinationales lui reprochent la variété de rats choisis (pourtant la même que ceux utilisés par Monsanto pour une précédente étude) ou le nombre de spécimens (pourtant bien supérieurs aux 30 rats utilisés par BASF pour autoriser la patate OGM sur le marché et aux 80 rats de l’étude Monsanto de 1996) pour tenter de casser la validité de son étude.

Mais dans l’émission du 7/9 du 22 septembre sur France Inter, Marie-Monique Robin cite la conclusion de l’étude de 1996 qui avait permis d’autoriser le soja OGM sur le marché, qui concluait rapidement sur « la coloration foncée du foie des rats » qui ne posait pas de problème… Petite coloration foncée qui devient juste un cancer quand on pousse l’expérience de trois mois à deux ans ! Si ça, c’est pas de la mauvaise foi !!

Les OGM, enfin sur le grill ?
Ces arguments fallacieux n’empêche pas que l’étude ait un retentissement conséquent sur l’opinion publique qui demande à en savoir plus.
L’AFSSA au niveau français et l’EFSA au niveau européen (agences pour la sécurité alimentaire) ont été saisies pour… étudier l’étude (!).
Selon les résultats, le premier Ministre pourrait défendre au niveau européen le fait d’interdire les OGM concernés.

Reste à voir par quels « scientifiques » sera examinée l’étude… et si l’on parvient à étendre l’interdiction à TOUS les OGM !
Restons mobilisés pour dire que non, les OGM ne passeront pas !

 

Pour étayer ces propos, il y a la sortie du nouveau film de Jean-Paul Jaud Tous cobayes, qui parle notamment de l’étude de Séralini (et du nucléaire…).

Et le documentaire de Marie-Monique Robin Les moissons du futur, le 16 octobre sur Arte, apporte des pistes pour nourrir le monde durablement !

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En résidence théâtrale…

… pour la création d’un nouveau spectacle, je ne pourrai écrire sur ce blog pendant quelque temps !

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Et vous, vous choisissez quoi ?

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Donnez votre avis sur l’agriculture européenne !


Photo : www.planetmattersandmore.com

Une fois n’est pas coutume, alors que le Parlement européen s’apprête à revoir la PAC (Politique Agricole Commune) on nous demande notre avis… Je ne sais pas ce qu’il sera fait de ce formulaire, mais enfin le remplir… ça ne mange pas de pain !

…surtout si c’est l’occasion de faire valoir que nous voulons enfin une agriculture qui respecte l’environnement et les hommes…

Alors, à vos clics, prêts… exprimez !

Accès au formulaire

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