Tarte aux framboises à ma façon

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Aujourd’hui c’était dimanche et j’avais envie de faire une jolie tarte… les framboises sont encore de saison alors voici ce que j’ai cuisiné, en faisant un mix de diverses recettes que j’avais gardées en mémoire.

Ingrédients

Pâte sablée :
– 250 g de farine T80
– 125  de beurre
– 125 g de sucre non raffiné –
1 oeuf

Garniture :
– 2-3 carreaux de chocolat noir au moins 70% de cacao (sinon le tout va être trop sucré)
– 500 g de framboises fraîches ou décongelées
–  miel
– basilic

… le tout  le plus possible bio évidemment (quoique normalement les framboises doivent l’être vu qu’elles poussent comme une mauvaise herbe) !

Recette

Pour confectionner la pâte sablée, j’ai mélangé le beurre fondu (à température ambiante mais ça peut être à la casserole si vous êtes préssé(e)… quoique vous ne devriez pas… faire la cuisine, c’est mieux quand on prend son temps !) et la farine puis j’ai incorporé le sucre et l’oeuf entier.
J’ai travaillé jusqu’à obtenir une boule, mais sans trop travailler sinon la pâte sablée risque de devenir brisée…

Normalement, il faut laisser reposer 30 minutes à 1 heure au frais puis ressortir la pâte 20 minutes avant de l’étaler. J’ai sauté cette étape pour l’étaler tout de suite. Enfin quand je dis « étaler », je veux dire que je l’ai aplatie avec un rouleau et qu’ensuite j’ai déposé des morceaux dans le plat à tarte.
C’est le principe de la pâte sablée, il n’y a pas d’eau pour faire le liant donc elle peut casser.

Une fois mon fond joliment déposé dans le plat, j’ai enfourné 40 minutes à 180 degrés. Une fois cuit, j’ai déposé sur le fond une très fine couche de chocolat noir fondu. Et laissé refroidir.

Les framboises se posent ensuite sur le fond en chocolat en farandole, en rond, en désordre, selon les envies ! J’ai choisi de les mettre en rond.

Avec la poignée de framboises qui restait, j’ai fait un sirop en les faisant cuire jusqu’à décomposition puis en filtrant les pépins… C’est-à-dire que j’ai mis ma purée chaude dans une passoire assez fine au-dessus d’un entonnoir au-dessus d’un pot !
J’ai ainsi récupéré un jus auquel j’ai adjoint deux cuillères à café de miel. J’ai répandu ce sirop sur ma tarte.

Pour finir, comme j’avais du basilic frais, je l’ai ciselé et en ai répandu quelques copeaux sur la tarte. Une touche de vert et de fraîcheur !
Je l’avais vu faire pour des tartes aux fraises, j’ai tenté le coup… verdict : c’est très bon.

Tous les goûteurs ont apprécié, un seul me disant qu’il aurait peut-être autant aimé sans le chocolat… à vous de voir !!

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Bouchons de liège à recycler… santé !

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Jusque là, disons-le franchement, je galèrais pour trouver où recycler les bouchons de liège à Paris.
A peu près partout ailleurs, comme on peut le voir sur le site de Planète Liège, il existe des relais pour récupération. Mais à Paname, hormis quelques associations écolos récoltant la partie légère des cadavres de bouteille au gré de réunions mensuelles auxquelles je ne peux pas forcément aller, je n’avais point trouvé de destination pour mes bouchons.

Le liège a une deuxième vie…
Pourtant je ne pouvais me résoudre à les jeter, sachant que la filière de la réhabilitation du liège est bien active. Les bouchons broyés en granulés servent à faire de l’isolant, des semelles de chaussures ou des éléments de déco. Pas con.
La collecte se fait un peu partout en France auprès de nombreuses associations.

…le chêne-liège aussi
Et depuis juin, c’est l’enseigne Nicolas qui s’y est mise. Une aubaine pour les Parisiens, puisque hormis un autre caviste dans le 17e, c’est le seul endroit où déposer facilement ses bouchons !
Le liège ainsi récolté permet non seulement le recyclage décrit plus haut, mais aussi la plantation de nouveaux chênes-liège afin de faire de nouveaux bouchons.

A mort les champi !
En effet, cette matière naturelle se régénère très lentement. Après la plantation d’un arbre, il faut attendre 25 ans pour en récolter l’écorce une première fois. Ensuite, ajouter encore 10 ans pour que le chêne-liège fasse une écorce à nouveau utilisable. Et vu la demande croissante de ce matériau, les producteurs ont tendance à raccourcir le délai d’écorçage. Résultat : depuis 1992, les arbres se fragilisent et sont envahis par un champignon ! Ben voyons.

No passaran bouchon synthétique et à vis !
C’est pourquoi de plus en plus de pays utilisent le bouchon synthétique ou à vis. Si le deuxième semble pouvoir prétendre à la garde de bons vins, l’alu est quand même fortement décommandé pour emballer les aliments… on peut imaginer que le vin ne fait pas exception, a forciori si le contact dure des années !

Liège, mon amour
Du coup, les amoureux du liège ne se ménagent pas pour faire valoir cette matière première et naturelle. A l’initiative de la fédération française des syndicats du liège et de l’APCOR (Association portugaise du liège – NB : la plupart du liège est produit au Portugal), il y a même eu il y a quelques années une campagne  de pub rigolote.
Vous en souvenez-vous ?

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J’avoue avoir aussi un penchant pour conserver le bouchon de liège… à condition d’entretenir les plantations de chênes-liège. Le cercle est simple et vertueux : quand vous ouvrez une (bonne) bouteille, vous gardez le bouchon et déposer ensuite le gain de vos dégustations dans un centre près de chez vous.

Santé !

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I’m back…

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J’avais dit « I’ll be back » et me revoici…
Même si j’ai dû m’absenter un peu de la toile pour raisons familiales, je ne me suis pas transformée en Terminator entre temps !

Je reprends de l’activité sur La touffe verte… l’occasion, du coup, pour le blog de faire peau neuve !

Je suis ravie de vous retrouver…

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2e de ma pièce « Au royaume du pétrole les ours blancs sont verts » à Montreuil !

« Au royaume du pétrole les ours blancs sont verts », la pièce à trois acteurs que j’ai écrite et mise en scène, était donnée hier soir dans le cadre du festival « L’écologie à croquer », 1er festival d’humour écologique à Paris, organisé par l’association Rirenvert.

C’était au Casa Poblano à Montreuil, café-théâtre solidaire, et la salle était bien pleine et bien réactive !

Après la première le 3 avril avec la Mairie du 13e pour la Semaine du Développement Durable, ceci est encourageant…

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Première de ma pièce dans le cadre de la Semaine du Développement Durable !

La Semaine du Développement Durable, c’est tous les ans partout en France, ce sont plein de manifestations et c’est maintenant.

C’est dans ce cadre que sera donnée Au royaume du pétrole les ours blancs sont verts, pièce à trois acteurs que j’ai écrite et mise en scène, demain mercredi 3 avril à 20h Au petit Bain, en partenariat avec la Mairie du 13e.

Mise à jour le 03/04 : on a un encart dans 20 Minutes !

Le texte dit ceci :
« Un couple en désir d’enfant se pose des questions d’écologie. Une nouvelle voisine, magnat du pétrole en mal de tire-bouchon, atterrit chez eux. Charlotte Normand, Prix des femmes pour le développement durable en 2011 pour son précédent spectacle, revient avec une comédie mordante au Petit Bain. »

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Earh hour, vraie manifestation ou mascarade écologique ?

Je me renseigne aujourd’hui sur le suivi de l’Earh Hour, cette opération menée hier par le WWF partout dans le monde qui consistait à éteindre les lumières pendant une heure pour dénoncer la politique et le gaspillage énergétiques.
On nous parle de « 1,3 milliards de personnes » qui auraient donné dans le mouvement et de 385 bâtiments officiels éteints symboliquement rien qu’en France… pourtant à Paris la Tour Eiffel n’a été éteinte que cinq minutes, alors effectivement, on est bien dans le symbolique ! Déjà qu’une heure, c’est peu…
Alors la Earh Hour… Vaste mascarade ou vraie manifestation pour une prise de conscience généralisée ?

Mon Earh Hour
En France, l’heure tombait entre 20h30 et 21h30… un samedi soir, gageons que déjà pas mal de gens étaient sortis de chez eux et dans des lieux publics à ce moment-là. Ont-ils fait pression dans les bars et restaurants pour que ce geste soit respecté ? J’en doute…
Pour ma part, j’ai éteint les lumières, mis les appareils en veille et me suis assise à une table, quelques bougies et photophores illuminant tant bien que mal la feuille blanche où je voulais jeter mes idées, profiter de cette heure à part pour me retrouver face à moi-même… vivre un instant éclairant en somme !

Impact symbolique ?
Si tout le monde remplaçait réellement l’électricité par des bougies pour s’éclairer, ne serait-ce qu’une heure, il n’est pas sûr qu’on y gagnerait au niveau de l’impact carbone, mais enfin…
Ce n’est pas le propos, bien sûr, il faut marquer un acte symbolique pour faire réfléchir les gens et dénoncer le manque de mesures prises en matière énergétique sur l’ensemble du globe.

Ceres. Mais vu qu’on gobe du concept à longueur de temps, je me demande en quoi ce type d’action se différencie vraiment du greenwashing…
Bon nombre de gouvernements, de gens, se seront donné bonne conscience en éteignant quelques monuments, quelques ordinateurs un moment… et puis à 21h30 ? Retour à la normale !

Human light ?
Le WWF proposait de télécharger un guide pour appareils mp3 à emmener dans les lieux de rassemblement, destiné à être écouté par tous les manifestants en même temps.
J’ai écouté cet enregistrement qui m’a laissée un peu pantoise. Une voix féminine donne des injonctions pour danser, allumer les lampes de poche, les éteindre, pour faire des « free hugs »… commandés. Pas beaucoup de liberté ni de spontanéité là-dedans !
Et tout le folklore y passe, de la musique de Star Wars à toutes les sauces à la séquence des masques d’animaux invitant les gens à se « lâcher » et exprimer la bête en eux. Grrrrrrr !
Notre part instinctive ne peut-elle s’exprimer autrement que dans la caricature et l’assistanat ? Franchement, ça a beau s’appeler human light, ça ne fait pas de nous des lumières.

Human fight
Car si l’on veut vraiment faire référence à Star Wars, il y a moyen de voir intelligemment la Force dont il est question. Et de se projeter autrement dans le futur. Yeah.
L’indépendance énergétique ne doit-elle pas passer par une réelle autonomie de conscience ? Pour que les gens aient le réflexe de moins consommer, de moins dépenser d’électricité, il faut peut-être aussi réapprendre à réfléchir et pas seulement pendant des flash mobs de cinq minutes ou d’une heure…
En terme d’engagement individuel, c’est sûr, les gens sont très économes.

Je ne veux pas être rabat-joie, les symboles, c’est très important !
C’est juste que de vouloir améliorer la situation énergétique à coups de symboles, c’est un peu comme soigner mémé à coups de bâtons. C’est vivifiant et marquant… pas forcément efficace.

Pour une action concrète, passez à l’électricité vraiment alternative : Enercoop.
Le pouvoir est dans le panier du consommateur !
May the force bio with you.

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A voir : alu et femme hallucinante


Aung San Suu Kyi… non, ce n’est pas de l’alu derrière elle !
(quoique…)

Sur Arte+7 voir l’émission X-enius sur la toxicité de l’aluminium.

Et sur France 2 pluzz, voir l’émission sur « Aung San Suu Kyi, un rêve birman« , bel exemple de femme transmettant la non-peur…

Les deux émissions sont visibles jusqu’au 19 mars.

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Stéphane Hessel est mort… vive l’Indigné !

Stéphane Hessel qu’on ne présente plus, auteur au crépuscule de sa vie bien remplie de « Indignez-vous !« , s’est éteint cette nuit…
L’homme est mort… vive l’Indigné !

Et surtout, que vive l’indigné que nous avons tous en nous…

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Scandale Findus : tout dans la dentelle !

Le scandale de l’affaire Findus étonne et ça m’étonne.
Avec des filières longues et ultra-industrialisées mettant toujours plus en avant le pas cher, il est absolument inévitable de tomber dans le bas de gamme et l’opaque.
Et on ne peut pas dire qu’on n’était pas au courant !
Une fois de plus, c’est un vaudeville qui se joue-là.

Quand le circuit long se mord la queue (de cheval)
Reprenons au début, ou plutôt à la fin.
Quand vous achetez des lasagnes Findus, vous achetez en fait des lasagnes cuisinés par Comigel, entreprise française, qui se fait livrer sa viande par Tavola, entreprise luxembourgeoise, qui se fait elle-même livrer par Spanghero, entreprise française basée dans l’Aude qui transforme et conditionne de la viande qu’elle se fait livrer… par traders internationaux interposés (chypriote ou néerlandais), qui ont la bonne idée de faire venir la viande des filières roumaines… chevalines si possible et mafieuses de préférence !

Les joies de la transparence
Dans cet embrouillaminis de sous-traitants et de cheminement de marchandises laissant une bonne empreinte carbone, les dirigeants des boîtes encastrées les unes dans les autres ont bon dos de se renvoyer la balle et de dire qu’ils ne sont au courant de rien pour se blanchir.
Mais, pardon, au lieu d’être une preuve de bonne foi, c’est encore plus grave ! « Vous êtes inculpés d’avoir mis un aliment à la place d’un autre dans le plat que vous vendez, qu’avez-vous à dire pour votre défense ? -Ah, mais moi je ne sais pas ce qu’il y a dans mes plats, ce n’est pas ma faute à moi, c’est celui qui cuisine ! ». Et celui qui cuisine de ne pas s’informer non plus d’où vient la matière première et de ne faire aucune différence entre du cheval et du boeuf. Normal, il a fait confiance à celui qui le livre, c’est sa faute à lui, etc, etc.
Et comme ça, on remonte tranquillement à la mafia, mais c’est juste la faute à pas de chance !

Virevoltes vaudevillesques
Pour sauver la face, il faut désigner un boeuf émissaire, alors Spanghero porte le joug du coupable et on prétend les autres blanchis.
Mais parle-t-on des vrais problèmes ? De raccourcir les filières pour privilégier transparence et qualité ? De manger et produire moins de viande ? De se tourner enfin vers un mode d’agriculture sain et soucieux de l’environnement ?
Que nenni ! Les politiques parlent d’augmenter les contrôles, encore une mesure logique et peu onéreuse. Plutôt que de scier un arbre mort, on va faire vérifier par des inspecteurs si ses branches sont encore attachées au tronc, et puis même évaluer la composition de la branche en faisant des tests ADN ! Oui, oui, c’est à peu près comme ça que Findus prétend rassurer ses consommateurs sur la provenance de la viande.

Non-sens kafkaïen
Et puis pourquoi ne pas aller plus loin encore dans le progrès : d’aucuns en profitent pour remettre les OGM au goût du jour et prôner la solution… de la viande artificielle ! Non, non, vous ne rêvez pas, comme l’élevage pollue, on va créer de la viande en laboratoire, ça, c’est sûr, ce sera vachement plus sain et on saura vraiment ce qu’on mange !
Quant aux lots de lasagnes incriminés, on ne sait pas encore s’ils seront récupérés par les Restos du Coeur ou la Banque alimentaire, cela dépendra s’ils sont ou non jugés dangereux pour la santé. Et sinon ce seront des tonnes de bouffe qui partiront en fumée…
Vous trouveriez ça dégueulasse, de refiler du cheval pas net à des pauvres gens ? Mais vous savez, le boeuf que vous mangez tous les jours ne vaut certainement pas mieux…

Alors… bon appétit bien sûr !

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Du poids (lourd) des lobbys…

Peut-être, comme moi, en aviez-vous déjà conscience, peut-être pas. Ce qui est sûr en voyant le documentaire « Bruxelles Business » diffusé sur Arte hier soir (et visible pendant sept jours), c’est que le poids des lobbys dans les décisions prises dans les institutions européennes dépasse l’entendement…
…ou comment les lois qui doivent traiter de l’intérêt général sont faites en fait pour satisfaire les grosses multinationales…
…ou comment le serpent capitaliste n’en finit plus de se mordre la queue !

Les lions sont dans l’arène et c’est normal
C’est sûr, un commissaire européen ne peut pas tout savoir. Et on voit bien dans le film comment ce qui devait être juste une consultation d’experts au départ devient trafic d’influence voire corruption à peine déguisée via de vrais chasseurs de têtes, sorte de super-commerciaux au service de clients hyper-puissants… les fameux lobbyistes.
On nous dit qu’ils sont entre 10 000 et 15 000 à Bruxelles et on a peine à imaginer qu’ils tiennent tous dans cette petite ville sympathique !
Je savais déjà que Monsanto et consorts avaient leurs bureaux à côté des institutions européennes, mais je ne réalisais pas à quel point tout ceci était rôdé et toléré.

Quand l’incohérence se lit dans les gobelets
Cette séquence (voir photo) où l’on voit Pascal, le lobbyiste français suivi par le reportage, discuter au moment du café m’a semblé édifiante… par ce qui était dit, bien sûr, mais aussi par ce qui est bu. Entendons-nous, je ne sous-entends pas qu’il y ait du whisky dans les cafés… Non, je parle du support dans lequel ces gens, payés par les contribuables européens dans des institutions soi-disant démocratiques, boivent : un, non deux gobelets en plastique ! Le café doit être bien chaud, alors la plupart double encore l’effectif de consommation.

Ca vous paraît anodin ? Cette scène a lieu tous les jours, avec des centaines de personnes, plusieurs fois par jour.
D’ailleurs, on voit deux autres séquences café, l’une aux gobelets, l’autre aux capsules (je doute qu’elles soient recyclées…). Avec le pognon qu’on donne indirectement à ce genre d’institutions, il ne serait pas difficile d’embaucher des serveurs pour apporter et débarrasser de vraies tasses et les faire laver au lave-vaisselle. L’investissement serveurs-tasses-laves-vaisselles serait très vite rentablisé, ainsi que l’eau utilisée (il existe maintenant de bonnes machines économiques, surtout pour des collectifs).
Alors que là, les déchets à l’année se comptent en tonnes… « Ils s’en tamponnent le coquillard », me direz-vous. Tu m’étonnes !
Comme le reste, le développement durable reste un effet de ménage, greenwashing à tous les étages et on met la poussière sous le tapis.

Comment sortir de l’impasse ?
Normal, si les députés et les décisions sont à la botte des multinationales… Alors comment sortir du cercle vicieux ?
Le film pose la question sans la poser, car il s’attache à montrer les rouages économiques du système, que les dirigeants d’entreprises guident à leur guise, tant les politiques sont soumis à leurs lois.
On finit sur la crise grecque et sur les gens dans la rue, hurlant leur désarroi… Alors, on fait quoi ?

On fait entendre sa voix… on line !
The Brussels Business Online est l’initiative web lancée par les auteurs du documentaire pour prolonger le docu et permettre aux citoyens de l’UE de s’exprimer sur des sujets votés à Bruxelles. La plateforme doit faire le lien avec les prises de décisions. Comment ?
Deux lobbyistes s’affrontent. Le citoyen s’informe et vote pour l’argumentation la plus convaincante. Il peut ensuite entrer en contact avec son eurodéputé et faire entendre son avis.

Why not… c’est déjà un début de quelque chose… Seulement, le virtuel, c’est bien beau, mais il serait quand même temps aussi de reposer la question du rôle de l’élu et son lien DIRECT avec la société civile…
Revenir à la démocra-si !

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