Articles ‘Des vertes et des mûres, les infos insolites’

Oh la vache !


Illustration trouvée sur le Net sans mention du dessinateur
qu’il se fasse connaître ou non, telle est la question

Voici plusieurs histoires de vaches qui en disent long sur l’air du temps.
Je voulais vous en faire part car tout ça m’émeut, meuh meuh…

Double mystère en Haute-Savoie : la voie des vaches est impénétrable
D’abord il y a cette vache, évadée juste aux portes de l’abattoir et introuvable depuis. Sa fuite remonte au 2 juillet et a déchaîné les passions car elle devait initialement être abattue si on la trouvait…
Face aux protestations, la vache a désormais un refuge si elle remontre le bout de son museau : elle sera hébergée par la Fondation Brigitte Bardot pour les animaux… mais peut-être que l’animal préfère la forêt car pour l’instant elle reste bien cachée !

Ensuite il y a ce troupeau de 14 vaches que leur éleveur a retrouvé au bas du ravin. Pourquoi s’est-il jeté dans le vide ?
L’histoire fait couler beaucoup d’encre, des hypothèses plus ou moins fumeuses allant des loups aux OVNIs en passant par le suicide collectif… Trouver le fin mot va être vachement compliqué.

La ferme aux mille vaches, un projet pharao-nique la biodiversité
En Picardie, la société « SCEA Côte de la Justice » veut installer un élevage de vaches à mille têtes, avec 750 génisses en prime et un méthaniseur pour traiter les tonnes d’effluents engendrés ! Voilà une société qui porte bien mal son nom car en terme de justicier de la cause animale et environnementale, on peut rêver mieux.

Environne-mental, vous dites ?
Mais ces gens-là ne pensent pas, voyons ! Ils chassent la prime que ça leur rapportera, ils comptent… le blé qu’ils vont se faire. Et que les animaux baignent dans la merde et les médicaments en bâtiments clos, ça n’est pas leur problème.
Mais c’est celui de nombreux riverains et agriculteurs du coin, auxquels Bové et Artus-Bertrand ont déjà apporté leur soutien.
Si on veut faire de même, c’est par ici.
A titre indicatif, en France un élevage moyen compte 44 bêtes et rares sont ceux qui dépassent la centaine !

Au Texas : une herbe hybride tue des vaches
Un troupeau de vaches broutait paisiblement dans un ranch à Elgin, à environ 30 kilomètres à l’est d’Austin (oui bon, c’est au Texas, quoi) avant de se mettre à beugler. Puis 15 animaux sur 18 sont morts en quelques heures.
Il s’est avéré que l’herbe qu’ils avaient mangée s’était mise à dégager du cyanure… miam ! Cette herbe est en fait un hybride d’herbe des Bermudes, réputée très résistance aux hautes températures et appelée Tifton 85 que l’éleveur dit avoir utilisée sans problème pendant 15 ans… Ou comment le traficage des espèces fait rage.

Pour l’occasion la pièce « Arsenic et vieilles dentelles » a été rebaptisée : « Cyanure et vieilles mamelles ».

C’est vrai qu’on peut parfois se dire que les choses vont de mal en pis, mais comme dirait la vache sacrée cousine de Yoda :
Pour construire un monde nouveau, Garder le moral il faut !

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Le 24 décembre 2011, le réveillon a fusé


Photo d’après une capture de vidéo prise en Allemagne

Depuis l’Allemagne, le Nord de la France, la Belgique, les Pays-Bas, les gens qui ont levé le nez samedi 24 décembre vers 17h30 ont pu apercevoir une traînée lumineuse dans le ciel pendant environ 30 secondes.
D’aucuns ont pensé à une météorite, d’autres ont saturé d’appels le centre d’exploration des OVNI de Manheim (Allemagne).

C’est sûr que choisir le réveillon pour descendre du ciel, ils auraient été bien inspirés, les extraterrestres !
Il paraît d’ailleurs que certains ont fortement pensé avoir enfin la réponse sur l’existence du Père Noël…

Mais il s’agit en fait d’un morceau de fusée russe.
Le lanceur Soyouz a en effet décollé mercredi du cosmodrome de Baïkonour dans le Kazakhstan mais a subi une panne à son bord, qui a empêché la mise en orbite d’un satellite de communications militaires et civiles et a obligé le cosmonaute à larguer le dernier étage du lanceur.

Et dimanche soir, c’est l’observatoire belge qui perce le mystère.
Le cosmonaute, lui, s’appelle Kuipers, justement.

Bon, d’accord, ça paraît foireux comme jeu de mots, mais la police locale de Sibérie, qui a retrouvé un fragment de fusée écrasé sur une maison, a déclaré que celle-ci est située rue des Cosmonautes… Ca laisse rêveur.

D’autant que cet été, les fragments d’une météorite déchus en France avait frappé des familles au nom aussi évocateur que Comette…

Alors un conseil si votre patronyme évoque de près ou de loin des personnes ou objets volants dans le ciel : en 2012, changez de nom !
Car ça risque de fuser…

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Pandi Panda


Photo : www.fondsfonds.com

Alors que je vous parlais dans un précédent article de la libido du panda, qui pose véritablement question aux Chinois, voici que ceux-ci seraient d’accord de faire héberger deux de leurs précieux spécimens en France.

L’info est révélée par La Croix, en marge du G20. En effet, les tractations compliquées pour finaliser le voyage des ours blancs et noirs dans nos contrées ont apparemment été occultées par les récents sommets internationaux, la 20e dette et le G grec… à moins que ce ne soit le contraire.

Toujours est-il que la question qui devait être frontalement abordée lors du G20 a été repoussée hors de l’ordre du jour.
Et devrait se solder dans échange de courrier.

Alors quid de l’arrivée des pandas au zoo de Beauval ?
Quid de leur acclimatation à nos températures et surtout… le légendaire pouvoir de la France sur les amoureux agira-t-il sur les ébats de ce couple de pandas ?

Car on imagine que l’objectif est de voir si la reproduction fonctionne hors de Chine… sinon à quoi bon ?

Le French Kiss comme arme de repeuplement du Panda : yes, we Cannes.

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Le soutien-gorge soutient… et pas seulement les seins !


Photo : www.pinkbrabazaar.org

Et c’est justement à Juliette Pic* que je pique l’article sur les soutifs. En fait, c’est plus dans l’idée de relais que je fais passer le mot car ce ne sera pas de trop !
Alors pour l’info merci Juliette, merci Bienbeau.

Cette idée de recycl’âge est tout simplement géniale. On a toutes des soutien-gorges qu’on n’a pas portés depuis des lustres mais qu’on s’obstine à garder dans un tiroir « au cas où ».
Mais en fait, ils ne nous plaisent plus ou ils nous font mal : les bretelles nous serrent ou nous lâchent… alors pourquoi ne pas lâcher l’affaire et les faire resservir ailleurs ?

C’est ce que propose l’asso Pink Bra Bazaar qui lie depuis des années femme et lingeries dans la lutte contre le cancer du sein. Pas besoin d’être une sainte pour participer, il suffit de fouiller son placard et de leur donner les soutien-gorges qu’on ne met plus.

Mais quoi, que deviennent-ils ? Ceux en état de marche sont troqués ou vendus pour 1 euro. D’autres sont découpés et recyclés par exemple en bracelets !
D’autres encore sont recousus et customisés pour être vendus aux enchères. Et l’ensemble des fonds par à la recherche contre le cancer. Comme quoi si la chair est généreuse, l’enchère l’est également.

Toutes égales, toutes pour une ! Cette initiative est à soutenir d’urgence car la collecte s’arrête le 31 octobre.
Les boutiques partenaires sont trouvables ici, à gauche en bas et dégainent de jolies Pink Bra Boxes recyclées pour recevoir vos gaines.
S’il n’y en pas près de chez vous, il existe une adresse** pour envoyer vos dons.

Qui l’eut cru, doudou dis donc, que les soutifs auraient la peau si dure ?

*journaliste green, rédactrice en chef adjointe de Shi-zen, et ayant dressé mon portrait dans Citazine

**Pink Bra Bazaar, 6 rue Jean Moulin 91690 Saclas

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Quand la météo rite


Photo : www.paperblog.fr

Quand les gens lèvent les yeux au ciel, c’est souvent pour se plaindre de la pluie ou du temps gris. Ou au contraire, admirer les nuages blancs s’étirant dans l’azur azoté.
Vendredi soir, ceux qui ont scruté le ciel vers 21h05 ont eu un choc. Ils ont vu une boule de feu traverser les cieux en se désagrégeant, selon les propos rapportés par le Parisien.

Tout est possible, rien n’est certain.
En effet, si l’hypothèse du satellite allemand dont le contact a été perdu au-dessus de Shangaï la semaine dernière a été écartée, celle de la météorite reste la plus probable, même si d’aucuns ont vraiment pensé à un OVNI.

Déjà des précédents.
Plusieurs météorites sont tombées en France cet été et l’Ile de France a été arrosée en juillet par des fragments de la météorite de Draveil, vieille (elle aurait 4,5 milliards d’années). Ainsi, des gens en ont retrouvé trace dans leur jardin ou à travers leur toit, comme c’est le cas de la famille Comette… et ce n’est pas une blague.

De la dispersion des fragments.
L’éparpillement des fragments a donné lieu à une véritable chasse encouragée par le Muséum national d’Histoire naturelle. En effet, les météorites, roches extraterrestres inchangées depuis leur formation, constituent la principale source d’information des scientifiques sur les conditions de genèse du soleil et des planètes.

En Somme, on cherche en vain.
Les gendarmes et les pompiers ont cherché eux aussi des morceaux, suite au signalement donné hier par des habitants, mais n’ont rien trouvé.
La chasse aux rocs tombés du ciel est en train de devenir un rite, en somme !

Des météores dans la nuit filant.
Et dans le genre météore-rite, la Terre est entrée début octobre dans un nuage de débris éjectés par la comète 21P/Gicobini-Zinner, découverte en 1900, phénomène épisodique observable en octobre.
Cette année, il était particulièrement intense et a donné lieu à une nuit des étoiles filantes, visibles à hauteur de 600 météores par heure. Le temps couvert a gâché le spectacle mais des gens ont pu les voir, comme dans le Sud-Ouest.

Comme quoi être à l’ouest, parfois ça a du bon. Et lever le nez vers le ciel nocturne aussi. Changeons nos rites !

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En l’air

J’ai passé mardi soir une nuit atypique. Dans le vert, c’est sûr, mais surtout… en l’air !
Mais n’allez point croire que j’ai l’intention de vous raconter mon intimité ni que je suis complètement perchée.

Encore que si, perchée, je l’étais justement, mais dans un vrai vieux trois fois centenaire : un respectable en même temps qu’un réceptacle.
Mais oui, vous l’avez : j’ai dormi lovée dans les bras d’un chêne.
Enfin presque… Puisque j’étais dans une cabane toute de bois faite arrimée solidement à l’arbre par un ingénieux système de câbles.
Et de là-haut… la vie est nature, la vie est belle !

Les cabanes dans les arbres, ça se fait de plus en plus et ça faisait un moment que j’avais envie d’en tester une, de plus en plus.
Jusqu’à mardi où je l’ai fait !

Et mérité en plus, car avant de poser le pied dans la cabane, il faut grimper.
Assurée par un baudrier fixer à un curseur il m’a fallu gravir les 24 barreaux d’une échelle de corde et de gourdins avant de découvrir la charmante maisonnée qui allait nous accueillir.
C’est facile, je vous rassure. Gentiment sportif et hautement stimulant.

Arrivée en haut, j’ai eu la surprise de sentir la construction bouger sous mes pas, réagir, craquer. Pas le moment de craquer pourtant, il fallait savourer !
Un repas hissé dans un joli panier par une poulie nous a bien fait commencer la soirée. J’avais prévu une bouteille de vin pour agrémenter le tout, la maison qui nous recevait ne fournissant qu’une bouteille de cidre (bio et très bon).

Ceci n’est évidemment pas un appel à la surconsommation d’alcool, d’ailleurs j’avais été prévoyante et avais prévu un bouchon de liège ornée de plastique pour bien fermer le reste de la bouteille de vin qu’on ne s’est pas sifflée totalement.
Et après une nuit à écouter les sons de la cabane, les souffles de l’arbre et les grattements d’animaux, j’ai été sifflée de voir que le-dit bouchon avait disparu ! La bouteille et son contenu n’avaient pas bougé pourtant… Un écureuil a dû vouloir ajouter ce drôle de truc à sa collection, je ne vois pas d’autre explication !

Malheureusement je n’ai pas pu le voir car le froid de la nuit nous a obligés à nous tasser à l’intérieur, en portant laines polaires sous sacs de couchage plus couette (fournie).
C’est que la cabane est en forêt, à la lisière mais en forêt quand même. Et comme l’été peine à s’installer… glagla !

Mais de devoir passer la nuit à l’intérieur n’a pas sonné le glas de l’aventure… restait le plaisir d’écouter, comme je l’ai dit.
Et de se lever le matin dans cet insolite lit d’arbre. Et de prendre son thé sur la terrasse ensoleillée dans le bruissement des feuilles.

La vue plongeante sur le bois, les chevaux et le potager bio de la propriété est rassérénante.
La forêt est celle du château de Graville, à Vernou-la-Celle-sur-Seine, en Seine et Marne.
L’endroit est chouette et l’organisation bien ficelée : après avoir signé les indispensables papiers de décharge, on enfile son baudrier (ou pas, certaines cabanes ne le nécessitent pas) et on est très indépendant, ce qui est appréciable.

Je garde la satisfaction globale d’avoir passé un moment hors du temps si près de la cime… Le film, c’était « Des arbres et des cieux » !

Trouver une cabane en France : la Cabane en l’air
Site du Château de Graville qui fait des promos en semaine pour l’été

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Contre la touffe verte… la queue de voile !


Photo : http://www.aquarium32.com

Cela fait partie des hasards Internet qui vous enchantent.

Des homonymes, des référencements par analogie, des réponses triées de telle manière que vous trouvez ce que vous ne cherchiez pas… c’est la joie des moteurs de recherche, moteurs parfois de nouvelles ouvertures.

C’est ainsi que j’ai découvert* que la touffe verte est aussi une algue. Une algue parasite que les férus d’aquarium connaissent bien.

Envahissante, la touffe verte peut recouvrir rapidement le sol du bocal, même si elle ne s’établit pas sur les autres espèces (et reste correcte, en somme).

Mais pour ceux qui ne veulent pas voir leur bocal noyé sous son épanouissement, il existe une solution… le poisson queue de voile !

Pas de lubricité ni de bizarre rapprochement entre espèces là-dedans. Il s’agit simplement pour d’une sorte de poisson rouge capable de grignoter l’algue et de nettoyer ainsi l’aquarium.

Car la touffe verte est fameuse et si elle sait s’imposer, elle est avant tout nourrissante…

….toute possibilité de parallèle entre cette espèce biologique

…………et un blog éco-logique portant le même nom
……………serait évidemment purement fortuite !

* ici

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Les caprices érotiques du panda


Photo : reptentia.no-ip.com

Le panda géant, symbole notamment du WWF, est en voie de disparition. Abrité dans des parcs spécialisés, il est très protégé et surveillé de près. D’un peu trop près peut-être, car la vie en réserve donne au panda certaines réserves. La semi-liberté taquine son comportement et le panda penche plus pour le dodo que pour la libido. Il fait son ours, quoi.

Quid des remèdes élaborés pour le stimuler et assurer ainsi sa reproduction ? Celui qui fait réellement effet est surprenant : le panda est friand de films pornos (représentant des pandas qui s’accouplent, évidemment), seuls moteurs de son excitation. Pour donner envie à un mâle âgé de s’accoupler, on peut lui montrer jusqu’à deux films par jour pendant plusieurs mois.

Ces méthodes, testées depuis 2002 au centre d’élevage de pandas de Chengdu, dans la province chinoise du Sichuan, sont maintenant déclinées à l’envi.
On parle aussi de tester la reproduction in vitro. En attendant, outre les films, les jeunes sont invités à faire ménage à trois avec des plus vieux pour « apprendre la vie », et des « sexercices » sont destinés à améliorer les performances des mâles. Du coup, c’est un mal pour un bien, il se trouve que la réserve commence à manquer de gardiens.

Car en 2008, quatre bébés pandas ont vu le jour à Chengdu, portant ainsi la population à 84. Les 40 gardiens présents ne suffisent plus, même s’ils se dévouent jour et nuit aux animaux, quitte à « repousser leur propre mariage », selon un des responsables des animaux. Comme quoi, s’occuper de la sexualité des pandas peut revenir à dénigrer la sienne…

Mais pour sauver la biodiversité, on ne compte pas ! Ou plutôt si, on compte scrupuleusement : seuls 1600 spécimens de pandas existent encore à l’état sauvage et 300 sont dans des centres spécialisés où favoriser leur reproduction permettrait ensuite de les réintroduire dans le milieu naturel.

Le tout, à coup de visionnages de films démonstratifs, naturellement ! Réalisateur de films pornos pour pandas… une nouvelle vocation en Chine ?!

Sources :
article de Libération sur le sujet

article de 20 minutes

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Lutter contre la marée noire ? Che veux !


Photo : lepost.fr

Ben quoi ? « Che veux », c’est bien « je veux » en alsacien ! 🙂

Et en réponse à l’appel de BP aux inventions pour absorber le pétrole qui flotte comme une crotte marron, un étron gluant près des côtes de Louisiane, les idées fusent à la pelle. Et notamment celle de l’organisation Matter of trust qui récupère les cheveux des salons de coiffure de New York, La Nouvelle Orléans et Chicago pour en faire des ballotins qui absorbe le pétrole. Pas chauvins pour deux sous, les organisateurs acceptent les cheveux du monde entier… Et ça semble marcher ! Vous aussi, vous pouvez y mettre du vôtre, du cheveu* !

Les animaux participent aussi (n’allez pas tondre votre canari pour autant…), mais on s’abstient d’envoyer des poils humains, ça fait pas le poids ! Ca absorbe pas. Dommage pour les esthéticiennes qui voyaient là une occasion de recycler le résultat de leur dur labeur.

Mais il ne faut pas vouloir le beurre et l’argent du labeur !

*si ça vous intéresse, c’est ici

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Verte semence…

Il en va des bruits qui courent comme des recettes de grand-mère : certains sont précieux, d’autres plus indigestes. Ainsi, voilà déjà des années qu’on nous serine régulièrement, qu’on nous le dit, qu’on nous l’imprime : oui, le sperme contiendrait des tas de bonnes de choses, oui mesdames, avaler est dans votre intérêt.

De là à en faire un régime, certaines intoxiquées de la ligne et de la ligne imbécile dans les magazines, ne feront qu’un pas… Ou une passe, c’est selon. Passer mon tour ? Non, je veux juste éclaircir le propos.

Savoir que le sperme contient des vitamines (C et B12), des sels minéraux (calcium, magnésium, phosphore, potassium et zinc), et des sucres (fructose et sorbitol) est fort enrichissant, si j’ose dire. Ainsi, n’en faire qu’une gorgée peut suppléer les carences, par exemple en vitamine B12* ou en zinc…

C’est vrai que les huîtres (riches aussi en zinc) de la côte Ouest (française, hein) ont connu ces dernières années une décimation de leur population : fragilisées par les températures plus douces (dues au réchauffement climatique, eh oui), elles ont été plus sujettes à la maladie de l’huître, portée par le virus OSVH1, touchant aussi les naissains (les larves). On estime que 30 % de la future population d’huîtres est déjà morte… La situation est donc grave… mais pas désespérée, car les collectivités et les osréiculteurs se penchent sur la question.
Pour en revenir à nos moutons, ou plutôt à nos cochons, vin diou, elle serait donc nourrissante, la fellation !

Ceux qui prônent à tout va cet argument de but en blanc oublient quand même un détail : ça dépend de la santé du cheval, enfin du mâle. De mal en pis se porte la fertilité des spermatozoïdes et il est prouvé que cela est lié à la mauvaise alimentation, et notamment aux pesticides. D’autres éléments fragilisent la semence masculine, comme les ondes des portables portés bien près des parties. Partie prenante, moi ? Oui, pour du sperme bio ! 🙂

Tout ça est bien beau, mais pour conclure (c’est le cas de le dire), disons seulement que dans ce domaine-là, il n’est pas de régime ni d’habitude, l’important, c’est de faire comme on le sent !

*lien : le blog insolente0veggie (pas besoin d’être végétarien pour trouver ce blog drôle et bien fait !)

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