Articles ‘A voir, à faire, à écouter’

Sur la (Paris) plage ensoleillée…

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… coquillages et crustacés !

A moins que ce ne soit bermuda, châteaux de sables et crème à bronzer. Ou encore bal musette, tyrolienne et manège enchanté.

Paris plages, c’est une solution économique pour profiter d’activités gratuites pour tous, sous le soleil de la capitale. Que ce soit en touriste, entre deux départs ou parce que vous ne pouvez pas partir du tout, être à Paris l’été, ça peut être léger.

Comme les pédalos sur le Canal de l’Ourcq. Comme les cours de taï-chi qui recentrent et font du bien. Ou comme un grain de sable dans la machine urbaine.

C’est d’ailleurs Lafarge, le cimentier, qui fournit le sable des plages parisiennes. Il provient d’une carrière dans l’Eure, est approvisionné par convoi fluvial et est directement livré sur les berges de la Seine.
Après l’opération, le sable est laissé à la Ville de Paris, qui le donne à des cirques ou l’utilise pour les voiries.
Le bilan écolo de l’opération ne fait donc pas rougir…

Ce n’est pas le cas de l’astre rayonnant, alors, comme en bord de mer, gare aux coups de soleil !

Pour les activités, c’est par ici

Bel été !

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A Brinv’, c’est déjà le printemps

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Des plats du jour à déguster sur place, et surtout à emporter car ils sont légers.
Pas peu nourrissants pour autant. Et jolis à regarder.
Brinv’, c’est l’adresse verte et fraîche des travailleurs du 9e, des pressés dans leur jus qui veulent des breuvages de fruits frais et centrifugés, des soupes et des plats aux légumes variés. Ambiance snack, certes, mais de qualité.

 

Un petit air de campagne
Pourquoi Brinv’ ? « Parce que c’est l’abréviation de Brinvilliers, la maison de campagne de mon grand-père. Il m’a donné un coup de main pour monter ce lieu, c’est ma manière de le remercier », raconte Vincent, le chef et gérant de l’endroit. Avant d’ajouter que si c’était à refaire, il choisirait peut-être autre chose car les gens ne savent pas trop comment prononcer. C’est « Brainve », tout simplement, et pas « Brinnve » ou « Bringue »…
Ou peut-être qu’il referait exactement pareil car au moins cela fait parler, cela crée le dialogue ! Et faute de le dire bien, ce nom, les gens le retiennent. C’est ce qui compte.

 

Un petit air de printemps
S’il n’est pas phonétique, l’accent ici est mis sur la cuisine et la qualité des produits, travaillés dans des soupes, quiches, salades et plats du jour savoureux ou le légume est roi. Par exemple purée rustique de patates et topinambour à tomber, accompagnant un filet de lieu noir dans sa feuille de blette. Les salades allient légumes croquants et riches de goûts et les soupes sont très agréables : carotte et curcuma, lentilles corail au curry ou légumes de saison.
Et qui dit saison dit variation, et comme il n’a pas fait très froid, ça sent déjà le printemps…

Aux plats changeants salés (façon de parler car chez Brinv’ on évite de trop saler et c’est appréciable), s’ajoutent des desserts du jour, y compris sans gluten pour satisfaire tous les mangeurs. La mousse au chocolat est sans oeuf aussi, pour plus d’arôme et une meilleure conservation. Elle est saupoudrée de baies de goji… Go, j’y vais !
(moi, ce sont mes jeux de mots plus ou moins heureux que je saupoudre, chacun son truc…)

 

Un petit air d’écologie
De 70 à 80 % bio, les produits sont aussi choisis pour leur proximité. Quelque part entre l’écolo et le locavore, il faut trouver le bon mix.
Restauration à emporter oblige dans ce quartier où bien des gens ne prennent pas le temps de s’attabler (et où les loyers exorbitants limitent les places assises disponibles), Vincent privilégie aussi les emballages recyclés et biodégradables. Carton, mais aussi maïs compressé pour les couverts. Et bientôt même les coupelles en plastique des desserts seront recyclables.

 

Un petit air frais
L’esprit du lieu fait souffler un vent de fraîcheur sur la vente à emporter et vu la qualité de ses plats, je n’ai pas manqué de demander à Vincent s’il lui plairait d’ouvrir plus tard un « vrai » restaurant avec des vraies assiettes… « Peut-être », a-t-il murmuré, prudent.

Il est clair que pour l’instant, il lui faut faire connaître Brinv’ à un maximum de gens … il s’y attelle d’ailleurs via facebook en publiant en ligne les menus du jour : malin ! Puisse aussi ce modeste article apporter sa contribution…

Allez, bon vent au Brinv’, Vincent !

 

Brinv ́(ouvert du lundi au vendredi de 12h à 15h)
34, rue de la Victoire – 9e
tél. : 01 45 26 29 98
www.brinv.fr

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Mars, demandez le programme !

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Voici venu le mois du printemps… et des giboulées !

Je jouerai mon one woman show en Alsace pour la Semaine d’Alternative aux Pesticides :
– mercredi 26 à Herrlisheim (Bas-Rhin)
– jeudi 27 à Guebwiller, théâtre municipal
– vendredi 28 à Strasbourg-Cronenbourg

Plus d’informations dans le programme complet (activités classées par département)

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Le 8 mars, soyez femme en troquant vos vêtements !

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Voir ici l’invitation en grand

 

Des habits qu’on ne met plus… des accessoires inutilisés… des haricots magiques comme monnaie…

du troc, et ça recycle !

du troc, ça repart !

 

Venez troquer, boire un verre et vous amuser
le samedi 8 mars de 15h à 18h à la TROC PARTY
que j’organise avec Adeline Gerritsen

AU CAFÉ DUMAS
201 bd Voltaire – Paris 11e
droit d’entrée : une consommation

 

C’est la journée des femmes et cela tombera bien à propos car on peut aussi être féminine et se vêtir en recyclant et en échangeant !

… ce qui est sûr c’est que plus on est de folles, plus on rit, alors à vos penderies !

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Des thés militants, merci Kokopelli !

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Vous aimez le thé ?
Vous aimeriez commencer la journée en buvant une tasse de ce prodigieux breuvage et en faisant par là-même une bonne action ?
Que non seulement votre boisson soit bio et savoureuse, mais qu’en plus elle permette à des paysans de par le monde d’échanger graines et savoir-faire, loin des multinationales qui veulent contrôler le marché des semences ? …c’est possible !

 

Tous les goûts sont dans la nature
Noir, vert, blanc, rouge, il y en a pour tous les goûts… et toutes les bourses. En effet, chaque thé proposé est décliné en sachet de 100 g (7,50 euros) ou en tube de 100 g (un rien plus cher : 8,50 euros).

Et rien que la lecture des compositions met les papilles en éveil : « thé noir, réglisse, chips de carottes, cacao, orange » ou « thé blanc, gingembre, pétales de fleurs (bleuet, rose, mauve, lavande, souci, tournesol), vanille » ou encore « rooibos sauvage, anis, cumin, fenouil, coriandre, rose »… j’ai ce dernier que je savoure régulièrement comme une tisane (pas de théine dans le rooibos) et j’ai offert et goûté le thé blanc. Ces mélanges sont délicieux et surprenants. Tout un programme !

 

Tout le charme est dans la tournure
…et tout un poème ! Car, ces thés sont militants, dans le sens où sur chaque paquet ou tube un euro est versée à l’association Kokopelli, « association pour la libération de la graine et de l’humus ».

Et ce militantisme-là fleure bon l’onirisme et l’idéal concret : ainsi les noms des thés, comme les jolis petits pitchs sur les étiquettes, sont inspirés et inspirants : Parfum de résistance, Le chant de la terre, Le joueur de flûte, Rêve éveillé de Gaïa.

 

Tout le talent est dans la droiture
Rêve éveillé de Gaïa, cela fait référence à notre douce terre mère, d’accord, mais aussi à la marque qui s’est intelligemment associée à Kokopelli pour nous proposer ces merveilles : les Jardins de Gaïa.

Basée en Alsace et travaillant équitablement avec les producteurs, cette société fait du boulot sérieux depuis de longues années et leurs produits sont commercialisés en magasins bio, comptant déjà de nombreux adeptes. J’en fais partie depuis un moment aussi, mais le petit plus de ces thés militants… c’est que vous ne les trouverez pas dans le commerce, c’est une exclusivité sur le site de Kokopelli et de Gaïa.
Il faut donc se l’offrir, à soi et aux autres, cela fait du bien à tout le monde. C’est le cas de le dire.

 

C’est bien pensé, c’est bien vu, j’ai la peau du palais bien tendue… merci Kokopelli !

 

PS : d’autres idées de cadeaux fertiles.

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En 2014 sortons de notre coquille !

Calimero

Nouvel An « calimeresque »
A l’instar de Calimero, petit poussin noir plaintif, sorte de vilain petit canard sympathique, on peut aborder l’année qui s’amorce en déclamant : « C’est vraiment trop injuste » en toutes circonstances.
Et c’est sûr, les occasions ne manquent pas, se rangeant au choix dans les catégories suivantes : l’état de la planète maltraitée par les hommes en quête de profit ou l’état des hommes maltraités par les hommes en quête de profit.
Schématique ? Oui, et malheureusement tellement vrai…

 

Même Calimero se renouvelle…
Des motifs de se plaindre à gogo donc et Calimero, qui a pourtant perdu son père spirituel l’année dernière, qui revient sur les petits écrans en 2014. La nouveauté ? L’esquise esquisse prend des traits plus 3D et apparemment un ton plus optimiste… Ah bon ? Mais alors, si même Calimero…
Eh bien, on ferait ptet bien de s’y mettre, à l’optimisme alors ! Pas au bateau, non, qui n’a d’optimiste que le nom tant il est difficile de rester enthousiaste quand la coque en boîte d’allumette n’avance pas, prend accessoirement l’eau, et qu’au moment de virer vous vous recevez la barre en pleine poire, tous les enfants ayant pratiqué cette discipline nautique vous le diront.

 

En 2014 surfer sur l’optimisme
Non, pour 2014 l’idée serait bel et bien de rester optimiste coûte que coûte. Mais quand je dis « coûte », rien à voir avec le pouvoir d’achat ou la sacrosainte croissante, non juste garder le cap du sourire à toute épreuve, d’avoir foi en l’avenir, de croire, eh oui, que l’homme a les moyens d’être moins con et qu’il va les mettre en oeuvre.
« Moyens », « oeuvre », ces deux termes ne sont-ils pas antinomiques économiquement parlant ?
Tout dépend… économie solidaire, circulaire et tous les systèmes gratifiés de néologismes basés sur le troc, l’intégration de données plus humaines et la redistribution des ressources le prouvent : avec un peu d’imagination et de bonne volonté… l’homme est aussi capable du meilleur !

Alors ras-le-bol de râler, laissons le pessimisme au vestiaire… Le tout, c’est de sortir de sa coquille et de faire son coming out ! Allez, je me lance…
C’est décidé, en 2014 je suis optimiste !!

 

PS : en bonus pour pour rire un peu, revisitez cette « Leçon d’écologie » par Calimero : elle date des années 60 et ça se sent… Ou comment on nous vendait les « fertilisants » comme des adjudants de la nature… et comment l’écologie n’incombait qu’aux individus jetant leurs déchets dans la verte plaine, aux bûcherons isolés et certainement pas aux institutions et industriels. Heureusement, ça a bien changé depuis ! N’est-ce pas ? Non… Ah… déjà un coup dans l’optimisme… oups.

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Des cadeaux subtils et utiles…

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C’est déjà Noël et le temps des cadeaux. S’il vous reste quelques personnes à gâter pour la fin d’année ou le début de la prochaine, voici quelques idées à moindre coût.
Il s’agit de présents précieux et utiles…
Je vais vous parler d’un jeu qui éclaire le quotidien et de senteurs et crèmes qui ont le bon goût de vous faire du bien ainsi qu’aux abeilles.

Pour voir la vie autrement…
« Le jeu qui tue » porte bien son nom. Peut-être parce qu’en y jouant on reste souvent cloué sur place.
Le principe est simple : il s’agit de tirer une carte parmi 300 portant des citations soigneusement sélectionnées par les auteurs (et classées en trois catégories de difficulté).

Et si le jeu « tue », c’est que très souvent ce que vous lisez éclaire ce que vous vivez… le tout étant de faire preuve d’un peu d’honnêteté pour se sentir concerné.
(Comment ça ? Non, je ne vois pas du tout ce que cette citation veut dire !)

Certaines phrases sont drôles, d’autres plus soutenues. Toutes sont percutantes. Et on peut aussi tirer une carte pour l’autre… Cela devient alors le « Je qui tu » !

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Prix : 19 euros
Acheter en ligne ici

Pour faire la vie autrement…
Des senteurs et des crèmes pour faire la vie belle à son intérieur, à sa peau… en même temps qu’aux abeilles !
Elaborée dans la Drôme, l’huile essentielle de Lavande qui compose le « Parfum de maison » est désodorisante et désinfectante. Elle s’ajoute à la lessive dans la machine à laver, se vaporise directement sur le linge ou en ambiance dans la maison, et même dans les paniers des animaux domestiques car la lavande est insectifuge.

La crème a la texture onctueuse des cosmétiques home made très en vogue en ce moment et est une bonne alternative naturelle et bio à celles du commerce. Elle peut être utilisée de jour comme de nuit. Trés efficace contre les tâches et soignante sur une peau fragilisée par le soleil, par l’apport de l’ Aloé Vera et du beurre de Carité. Elle minimise les rides avec l’efficacité reconnue de l’hélichryse (Helichrysum Italicum de son petit nom latin).

Le petit + de ces produits ? Une partie des bénéfices est reversée à un apiculteur local, lui permettant d’investir notamment dans des pièges à frelon asiatique, fléau des abeilles annoncé pour ce printemps…

huile-crèmes

Prix :
parfum de maison lavande : 7 euros les 50 ml, 12 euros les 100 ml
petit pot de crème : 35 euros les pots de 100 g

Pour commander indiquer par mail les quantités souhaitées à domus-salviae@orange.fr
(indiquer que vous avez l’info par le blog La touffe verte de Charlotte Normand)
Frais de port en sus ou livraison possible à Paris en début d’année

 

Je nous souhaite donc de belles fêtes éclairées et  un avenir radieux peuplé d’abeilles !

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A voir : alu et femme hallucinante


Aung San Suu Kyi… non, ce n’est pas de l’alu derrière elle !
(quoique…)

Sur Arte+7 voir l’émission X-enius sur la toxicité de l’aluminium.

Et sur France 2 pluzz, voir l’émission sur « Aung San Suu Kyi, un rêve birman« , bel exemple de femme transmettant la non-peur…

Les deux émissions sont visibles jusqu’au 19 mars.

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Du poids (lourd) des lobbys…

Peut-être, comme moi, en aviez-vous déjà conscience, peut-être pas. Ce qui est sûr en voyant le documentaire « Bruxelles Business » diffusé sur Arte hier soir (et visible pendant sept jours), c’est que le poids des lobbys dans les décisions prises dans les institutions européennes dépasse l’entendement…
…ou comment les lois qui doivent traiter de l’intérêt général sont faites en fait pour satisfaire les grosses multinationales…
…ou comment le serpent capitaliste n’en finit plus de se mordre la queue !

Les lions sont dans l’arène et c’est normal
C’est sûr, un commissaire européen ne peut pas tout savoir. Et on voit bien dans le film comment ce qui devait être juste une consultation d’experts au départ devient trafic d’influence voire corruption à peine déguisée via de vrais chasseurs de têtes, sorte de super-commerciaux au service de clients hyper-puissants… les fameux lobbyistes.
On nous dit qu’ils sont entre 10 000 et 15 000 à Bruxelles et on a peine à imaginer qu’ils tiennent tous dans cette petite ville sympathique !
Je savais déjà que Monsanto et consorts avaient leurs bureaux à côté des institutions européennes, mais je ne réalisais pas à quel point tout ceci était rôdé et toléré.

Quand l’incohérence se lit dans les gobelets
Cette séquence (voir photo) où l’on voit Pascal, le lobbyiste français suivi par le reportage, discuter au moment du café m’a semblé édifiante… par ce qui était dit, bien sûr, mais aussi par ce qui est bu. Entendons-nous, je ne sous-entends pas qu’il y ait du whisky dans les cafés… Non, je parle du support dans lequel ces gens, payés par les contribuables européens dans des institutions soi-disant démocratiques, boivent : un, non deux gobelets en plastique ! Le café doit être bien chaud, alors la plupart double encore l’effectif de consommation.

Ca vous paraît anodin ? Cette scène a lieu tous les jours, avec des centaines de personnes, plusieurs fois par jour.
D’ailleurs, on voit deux autres séquences café, l’une aux gobelets, l’autre aux capsules (je doute qu’elles soient recyclées…). Avec le pognon qu’on donne indirectement à ce genre d’institutions, il ne serait pas difficile d’embaucher des serveurs pour apporter et débarrasser de vraies tasses et les faire laver au lave-vaisselle. L’investissement serveurs-tasses-laves-vaisselles serait très vite rentablisé, ainsi que l’eau utilisée (il existe maintenant de bonnes machines économiques, surtout pour des collectifs).
Alors que là, les déchets à l’année se comptent en tonnes… « Ils s’en tamponnent le coquillard », me direz-vous. Tu m’étonnes !
Comme le reste, le développement durable reste un effet de ménage, greenwashing à tous les étages et on met la poussière sous le tapis.

Comment sortir de l’impasse ?
Normal, si les députés et les décisions sont à la botte des multinationales… Alors comment sortir du cercle vicieux ?
Le film pose la question sans la poser, car il s’attache à montrer les rouages économiques du système, que les dirigeants d’entreprises guident à leur guise, tant les politiques sont soumis à leurs lois.
On finit sur la crise grecque et sur les gens dans la rue, hurlant leur désarroi… Alors, on fait quoi ?

On fait entendre sa voix… on line !
The Brussels Business Online est l’initiative web lancée par les auteurs du documentaire pour prolonger le docu et permettre aux citoyens de l’UE de s’exprimer sur des sujets votés à Bruxelles. La plateforme doit faire le lien avec les prises de décisions. Comment ?
Deux lobbyistes s’affrontent. Le citoyen s’informe et vote pour l’argumentation la plus convaincante. Il peut ensuite entrer en contact avec son eurodéputé et faire entendre son avis.

Why not… c’est déjà un début de quelque chose… Seulement, le virtuel, c’est bien beau, mais il serait quand même temps aussi de reposer la question du rôle de l’élu et son lien DIRECT avec la société civile…
Revenir à la démocra-si !

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A tous une belle nouvelle année créative… riche de décou-vertes !


S’inspirer de phrases d’anonymes, fortes et percutantes…

Comme l’an dernier
L’air du temps est toujours

Et plus que jamais
A changer d’univers
Sans changer d’Univers
Et parce qu’on est tous coloca-Terre
A changer d’attitude…

Alors optons pour l’art-itude
Ici, là-bas, maintenant…
Sans oublier d’en rire !

Et merci au site Street Art Utopia
et aux street artistes à qui j’emprunte ces images

…se faire carrément dérouler le tapis vert…

Green Carpet à Jaujac, France
photo : David Monjou

…ou encore rendre hommage à La touffe verte !



c’est à Sandrine Boulet qu’on doit cette oeuvre rigolote…
allez voir son travail ici

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