She loves you, yeah yeah yeah !


Photo : www.developpementdurable.com

Eh oui, aujourd’hui, c’est le jour des amoureux, et plus globalement de l’amour. Et donc de l’amour du globe… non pas celui de l’oreille, mais celui qu’on veut crier à notre jolie planète !

Patchamama, Terre mère, mère Nature, Gaïa, planète bleue, une fois n’est pas coutume : plutôt que de te piétiner et te labourer, l’homme te prouvera peut-être qu’il t’aime.
Une foi n’est pas coutume, j’ai envie de croire que c’est possible, que tout est encore possible !

Car c’est cela aussi que permet l’amour, le don, le reçu ! Oui, je sais, le parallèle entre ces deux derniers mots et les formules lucratives et globalisées est facile.
Mais que diriez-vous de dépasser le sacro-saint cliché commercial de la Saint-Valentin, s’il vous plaît, pour nous élever ? De parler d’Amour sans preuves et sans argent, de Global sans globalisation et de Rayonnement même sans soleil ?

Il peut faire beau dans nos coeurs, oui, et comme je parlais plus haut de nous élever, je vais développer.
Il n’est point pour cela besoin d’ascenseur ni d’école éducative, simplement de réouvrir les yeux sur ce qui nous entoure, des choses du quotidien aux beautés de la nature, ses cycles, son incroyable ingéniosité.

Tenez, la Saint-Valentin semblerait avoir pris une connotation amoureuse au 14e siècle en Angleterre, où l’on a pris conscience que certains oiseaux commençaient à s’accoupler à cette période…

Si c’est pas la preuve qu’on a pas toujours été aussi déconnectés de la nature ! Alors ? Prendre du recul, agrandir l’échelle…
Allons bon, voilà que j’en vois un qui fait fi de mes mots jolis et pour décrocher la lune à sa bien-aimée tire sur son escabeau.

Pourtant sous la pollution et le pragmatisme… le monde, il est beau !

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