Derrière la vitrine…

Super, quand on regarde les publicités qui continuent à envahir notre quotidien, on a l’impression que les choses vont dans le bon sens, que nos sens sont happés vers du beau, du bon : 24 bières artisanales à déguster dans le calendrier Saveur bière, du végétarien chez McDo, waouh ! Sauf que, une fois de plus, il faut regarder l’étiquette… qui n’est pas vraiment éthiquette.

 

Une bière peut en cacher une autre
Si vous n’êtes pas au fait du marché de la bière, vous ne savez peut-être pas qu’il se partage entre trois grands groupes et que le premier d’entre eux, AB In Bev (qui commercialise notamment la Leffe, la Corona, la Budweiser, la Hooegarden, la Stella, …) remporte à lui seul 30% des achats de ce breuvage. Sympa. Joli chiffre. A ce niveau, les méthodes de rachat sont forcément agressives et les brasseries de taille moyenne dans la ligne de mire, s’alignent… ou crèvent, car elles ne peuvent pas survivre face aux offres des géants. Pour la plupart d’entre elles, c’est la mise en bière.
Résultat : bien souvent quand vous croyez boire de la bière artisanale ou locale ou encore d’abbaye, vous buvez en fait une bière qui appartient à AB In Bev, ou Heineken ou Carlsberg, ces trois-là représentant 70% du marché. Exemples : la Mort Subite, l’Affligem -> Heineken ; la Fischer, la Jupiler, la Franzikaner -> In Bev ; la Grimbergen, la Baltika -> Carlsberg.
Et quand on sait que Heineken et Carlsberg tentent d’utiliser des OGM cachés dans leurs produits, ça donne de plus en plus envie de savoir (ce) qui se cache derrière ce qu’on boit !

 

Un calendrier de l’avent avec In Bev dedans
Ce qui devait arriver In Beva… En 2016, dans sa conquête fulgurante du marché brassicole, AB In Bev a racheté le site Saveur et bière, premier vendeur de bières et accessoires associés.
Et donc les jolies affiches avec la (plutôt) jolie idée d’un calendrier de l’avent avec des bières dedans ont leur bémol : tout ce qui à Saveur bière sera versé, dans le porte-monnaie de AB In Bev s’en ira. Sûre qu’alors la bière versée dans son verre un goût amer aura … et pas que à cause du houblon.
Si vous voulez (vous) offrir un calendrier de l’avent sur ce principe, rendez-vous sur le site Une petite mousse, indépendant et proposant des choix intéressants… A baver d’envie !

    sur le site Une petite mousse, indépendant, un calendrier de l’avent qui vaut le coup

 

Un McVeggie pour qui ?
Pendant ce temps-là chez McDonald… on mise sur un nouveau sandwich végétarien. Vraie alternative ou fausse bonne idée ?
Que McDo récupère une tendance en plein essor, liée à la prise de conscience généralisée que se nourrir de (trop de) viande est à la fois cancérogène pour les hommes et la planète, peut être vu comme un bon signe. C’est la preuve que même les grosses enseignes varient leurs offres et intègrent les nouvelles données comme le local, le bio, le sans viande…
Oui, mais… Si une petite partie de la clientèle habituelle de McDo va peut-être se laisser séduire par un McVeggie à la place de son burger « traditionnel », il est clair qu’en agissant ainsi, le groupe essaie plutôt d’attirer une clientèle qui ne serait jamais venue sinon. McDo dit aux végétariens « Vous aussi, venez comme vous êtes! » C’est beau… Enfin, presque.

Parce que, en général, quand on est végétarien, c’est qu’on fait le choix de consommer autrement et de désavouer l’industrie agro-alimentaire de la viande.
Or McDo reste quand même un des plus gros demandeurs de viande au monde ! (en 2014 rien qu’aux Etats-Unis, on en était à 453 000 tonnes de boeuf par an, et en 2017 à 46 000 en France). Que le groupe agrémente ses offres de bio, de compotes, de salades, de Mc Végé correspond plus à un verdissement littéral de son image (le M est passé sur un fond vert succédant au fond rouge historique) qu’à un réel ré-axage de la marque (dont les frites contiennent des pesticides et du chlorprophame, dont la viande est issue d’élevages industriels nourris aux antiobiotiques et au soja transgénique, etc.).
Donc en clair, si on veut être cohérent, son burger végé, il vaudra toujours mieux aller le manger ailleurs qu’à McDo, dans un restau indépendant ou se le faire home made.

 

Jolies affiches et belles intentions ne suffisent pas à brouiller les pistes… on est plus malin que ça ! Alors Santé ! Et bon appétit, bien sûr !

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J’y crois pas !

« J’y crois pas ». L’argument suprême quand on parle réchauffement climatique (Trump n’est pas le seul, malgré les milliers d’études scientifiques, sinon on n’en serait pas là), obsolescence programmée (il y a pourtant eu une loi pour la limiter, c’est bien qu’elle doit exister) ou chirurgie esthétique de Nicole Kidman. La phrase qu’on peut adopter pour tout et n’importe quoi, censée clore le débat. Et le clore avec panache… enfin panache façon Brice de Nice (« cassé ! ») ou dernière éructation mal articulée après la descente de huit panachés cul sec par l’habitué.

« J’y crois pas ». Cette phrase peut précéder les pires horreurs racistes ou négationnistes, ou encore la réfutation de faits et d’effets… En l’utilisant, Donald ne s’y est pas trumpé.
« J’y crois pas ». Que les réfugiés ont souffert, qu’ils ont traversé les océans, bravent les dangers, la peur et qu’ils ont pour le moins droit au respect et à la main tendue. « J’y crois pas » est un « J’en ai rien à foutre » un peu masqué.
« J’y crois pas » que Fillon ait volé l’argent public pour des postes fictifs, que Marine Le Pen soit convoquée devant la justice. Que la pollution augmente, que la durée de vie diminue… Ah ben, si tu n’y crois pas, alors, c’est que ça ne doit pas être vrai. Que ça ne vaut pas la peine de s’en préoccuper. Continuons donc comme si de rien n’était, puisque tu n’y crois pas !

Fascination. Quelque part, c’est (un peu) ce que je ressens pour ceux qui d’un revers de phrase aux allures de maxime se déculpabilisent. C’est bien, c’est simple. Un peu simpliste, quand même.
Et le simplisme nous tue tous, à petit feu. Le déferlement de virulence, de violence, de haine tous azimuts et de tous parti (pris) qui se déploie en ce moment me subjugue.
Quelque soit le bord politique, l’opinion ou le choix lié aux élections, on donne des leçons. A grand renfort de culpabilisation, d’injonction et de sentence. Souvent en parlant très fort aussi, dans les assemblées publiques, dans les transports. Celui qui ne vote pas promeut la victoire du FN, celui qui vote est le suppôt du capitalisme, celui qui s’interroge est un dangereux communiste qui adore Poutine, celui qui hésite restera pour jamais un Filloniste voué à périr dans les flammes de l’enfer… Stop ! On est où, là ?

Qu’on le veuille ou non, les élections sont un épiphénomène, ou un point culminant, c’est selon. Que Marine Le Pen soit au 2e tour de l’élection présidentielle, ce n’est pas la faute des abstentionnistes. Ce n’est même pas (que) la faute des électeurs de Le Pen. Ce serait un peu facile..
Qu’on le veuille ou non, on est tous dans le même bateau, celui qui fonce droit sur l’iceberg depuis un bout de temps et dans lequel s’installe un climat de peur et d’adversité. Le naufrage de la société occidentale capitaliste emporte tout sur son passage et surtout la tolérance, la communication et la solidarité. A vos souhaits !

Parce que cracher sur l’autre, se diviser jusque dans les plus proches affinités pour trouver des responsables, ça peut soulager ou rassurer (un peu) un moment. Mais si on veut éviter de faire le lit du FN pour dans un jour, pour dans un mois, pour dans cinq ans, il faudrait peut-être s’y mettre maintenant. A regarder les choses dans leur globalité, à agir tous les jours pour aller vers autre chose et pas seulement se réveiller tous les cinq ans. Parce que du coup, les grandes leçons au nom de la démocratie, ça va bien…

Mais la démocratie, elle se travaille au quotidien, dans ses choix de consommateurs, dans ses actions envers les autres, dans ses engagements, professionnels, associatifs, concrets, dans une main tendue, dans le simple fait de regarder en face tous les facteurs qui nous font peur et nous font préférer l’ostracisme.

J’ai voté Mélenchon au 1er tour et j’irai voter, la mort dans l’âme, au 2e parce que je préfère continuer la lutte pour autre chose sous Macron que sous Le Pen.
Mais je vous le dis franchement, je ne me retrouve dans aucune description de ce qu’est supposé être un « Mélenchoniste » que je lis en ce moment. Je n’ai même pas envie de rentrer dans ce débat-là, tant les amalgames font rage de tous côtés.
Et je ne juge pas les abstentionnistes, ils ne sont pas seuls responsables des maux actuels. Ni même les électeurs de Le Pen, parce que tous ne sont pas des fachos sans scrupules, là encore c’est trop simpliste. Certains, oui. Beaucoup d’autres sont en perte de valeurs et de ressources et souffrent. Même en souffrance, on n’est pas obligé de devenir intolérant et individualiste ? Certes, mais ouvrez les yeux : regardez comment on nous, comment on se parle, à la télé, dans les médias, sur les réseaux sociaux ? Vous trouvez qu’ils sont tendres et à l’écoute des autres, les argu-plus ou moins-ments employés ? Et juste au passage encore, à qui qu’ils appartiennent, les médias ?

Si, effectivement, Macron passe, on ne sera pas à l’abri. On sera juste dans la digne continuité de ce qui a été amorcé, dans le ventre du capitalisme fécond de différences creusées et ostracisées, de difficultés environnementales augmentées qui creuseront encore plus les différences et les conflits… Dans le lit du FN en somme ! In bed with le FN.
Evidemment je peux (et j’adorerais) me méprendre et que la période qui arrive soit harmonieuse à tous niveaux !
En tout état (ou Etat) de cause, si on veut pouvoir limiter l’impact actuel de ce parti pris de haine, il va falloir changer d’optique et renouer le dialogue entre les gens. Et plutôt que de se renvoyer la balle et de se jeter l’opprobre, il serait peut-être temps de se serrer les coudes et pas que pour faire la queue au bar… Pour voir où on va ensemble.

Car que l’homme choisisse sciemment et définitivement d’être vil et vénal, individualiste et violent et de détruire ses ressources naturelles et cognitives, au moment où il devrait/pourrait être au top de son intelligence et de sa civilisation en harmonie sur la planète… j’y crois pas.

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Mon spot de la collection « fraternité générale » au Cinéma des Cinéastes

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Le très court film « Frater-éternité » (réalisé par Simon Thoral et produit par Cinétévé), que j’ai écrit et dans lequel je joue avec William Prunck, est un spot de 45 secondes entre dans l’ensemble tourné pour le mouvement « fraternité générale ! » (d’autres ont par exemple été réalisés par Elie Chouraqui, Marie Drucker ou Julie Brochen).

Il est diffusé en ce moment sur différentes chaînes télé (France Télévisions, TF1, M6, …) et dans certains cinémas comme le Cinéma des cinéastes, à Paris.

Bon visionnage !

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OSEr le nettoyage de l’environnement

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Etes-vous plutôt soutif…

Connaissez-vous OSE ? L’Organe de Sauvetage Ecologique qui s’occupe notamment de nettoyer les berges et milieux naturels, de la Seine ou d’ailleurs, mais aussi de sensibiliser à l’écologie des rivières pour éradiquer les décharges sauvages et réformer les comportements ?

 

Eau, c’est OSE
On l’a compris, tout ce qui touche à l’eau et à ses alentours, à ses précieux écosystèmes et surtout au risque de leur dégradation par l’homme, c’est le domaine de OSE.
Qui ose tout : opérations de ramassage et nettoyage, sensibilisation, expositions, actions pédagogiques et propositions concrètes et décidés de plans d’aménagement des berges aux décideurs.

 

OSEz, OSEz Joséphine
Ou Nadège, Olivier, Gaston, Slimane, Léa, Aboubacar, enfin peu importe votre prénom, tant que vous avez de la bonne volonté et l’envie de mettre la main à la pâte… Enfin aux déchets.
Concrètement comment se passe un nettoyage de berges ? En général, cela se passe le matin et se finit par un casse-croûte offert par les mairies concernées.
Prochain rendez-vous : le dimanche 20 novembre à Saint-Denis de 9h à 12h. Le rendez-vous est rue de la Biche.
+ d’infos sur le facebook de OSE

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…ou T-shirts ?

 

Haut les couleurs OSE
Et si vous voulez soutenir l’action de OSE en échange de l’acquisition d’un T-shirt à ses couleurs, c’est simple et c’est jusqu’au 12 novembre. Faites vite !
Il suffit de passer commande via le site de Waah et vous recevrez votre t-shirt en coton bio et équitable… Un seul mot s’impose : Waaaah ! (seul le doute sur le nombre de a à orthographier persiste)
Et encore bravo à Edouard, le président et fondateur, Adeline et Juliette, les charmantes vice-présidente et chargée de comm’, Christophe, Madalina qui fait le lien avec la sensibilisation des populations Roms, et tous les autres

Alors joignez-vous à eux ou soutenez leur action, avec un dernier mot d’ordre : nettoyer c’est bien, ne pas jeter (n’importe où) c’est mieux !

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Mon spot de la collection « fraternité générale » sur France Télévisions vendredi soir

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Vendredi soir sur France Télévisions sera diffusé le très court film « Frater-éternité » (réalisé par Simon Thoral et produit par Cinétévé), que j’ai écrit et dans lequel je joue avec William Prunck.

Ce spot de 45 secondes entre dans l’ensemble tourné pour le mouvement « fraternité générale ! » (d’autres ont par exemple été réalisés par Elie Chouraqui, Marie Drucker ou Julie Brochen).
Sans titre
Dans Frater-éternité, il est bien sûr question de fraternité… mais aussi de climat. La photo que l’on voit dans la bande-annonce de la collection est issue de notre spot.
(merci à la Fondation Nicolas Hulot, Vincent Feuray et William Prunck pour leurs photos)

Frater-éternité

diffusions le 28/10/16 :

France 2 : 20H50
France 3 : 20H15
France 4 : 20H50
France 5 : 20H45
France 0 : 20H50
rediffusions ensuite sur M6, TF1 et autres chaînes
jusqu’au 20/11
et à partir du 29/10 sur Internet (et donc ici !).

Bon visionnage !

(mise à jour le 29/10/16)

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Mon spectacle à Martot ce soir

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Mise au vert sera joué ce soir à Martot…

Rien à voir avec un atelier bricolage, la représentation intervient dans le cadre d’un « Défi Famille à Alimentation Positive », orchestré par Inter Bio Normandie !

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En tournage…

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avec William Prunck, Simon Thoral, Romain Prouveur, Nino Guarda, Marion Thibault, et Léa, Arthur et Mathieu…

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En spectacle à Boussy-Saint-Antoine pour la Fête de la Nature

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Ce soir, je serai à 20h30 à la Ferme pour mon spectacle… Lieu prédestiné pour une Mise au vert !

Salle Gérard Philippe, réservations et accès ici

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Un article dans Les Dernières Nouvelles d’Alsace

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Le journaliste Brice Andlauer a fait hier un portrait dans les DNA !

Extrait : « J’ai toujours voulu avoir du fond, faire réfléchir avec le sourire. Se divertir, c’est très bien, mais on peut le faire intelligemment. C’est dommage de séparer le rire et la réflexion. »

voir l’article ici

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Pesticide, mon amour

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Il y en a partout et pour tout le monde… Ils agrémentent l’air comme on respire.
Campagne, ville, personne n’est épargné. Et toujours pas de législation en vue…

 

Les « phytosanitaires » nous montent au nez
Que les pesticides aient un nom qui fait du bien (phytosanitaire veut dire qui soigne les plantes), ça ne leurre plus grand monde. Qu’ils soient cancérigènes, ça fait un moment que ça nous gène.
Parce que vu que le bio n’est pas subventionné, ça fait encore une bonne majorité des fruits et légumes produits, et par extension une bonne partie de l’alimentation proposée, en magasin, au restaurant, dans les cantines, qui est viciée.
Mais là où le bât blesse et où la moutarde nous monte au nez, c’est quand on constate que les pesticides… on les respire aussi !

 

Polluer au nez et à la barbe des citoyens
Présents aussi bien en ville qu’à la campagne, ils se font la part belle de notre air… Atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère chargée de particules ?
Eh bien oui, il faut s’y faire : on en prend pour notre grade, parce qu’aucune loi n’existe sur le sujet !
En plus des sols, des nappes phréatiques et des rivières, pour polluer l’air aussi, les industriels ont le champ libre.

 

Les rois du pied de nez
Car nos hommes politiques s’empressent d’enterrer les volontés citoyennes en matière de biodiversité : pêche profonde ? Le chalutage n’est pas interdit à cause d’un groupe de pression qui représente pourtant trois péquins… Les néonicotinoïdes, dont rien que le nom tue les abeilles ? Ils devaient être interdits en janvier 2017, puis 2018, puis le Sénat refuse à nouveau leur suspension. Notre-Dame-des-Landes ? On y va, on bétonne. Et il n’y aura pas de taxe sur l’huile de palme…
J’en passe et des meilleures.

En fait, les hommes politiques enterrent les volontés citoyennes dans tous les domaines.
Poids des lobbys, des casseroles et des accusations de viol, et quid du 49.3 ? Le lien entre tout ça semble bien être le passage en force. L’attrait du pouvoir à tout prix et n’importe comment.
Dans ce contexte, on ne voit pas bien, effectivement, comment trouver le temps de légiférer sur la qualité de l’air.
La démocratie suffoque et nous aussi !

 

Garder la tête hors de l’eau ?
Pourtant, un peu d’espoir dans ce marasme…
Dans le cadre du nouveau Plan National Santé-Environnement 2015-2019, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a été saisie sur ce sujet.
Et les récentes recommandations de la Cour des Comptes préconisent de confier cette surveillance aux Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air (AASQA) comme Airparif, qui travaillent sur ces questions depuis de nombreuses années.

Mickey 3D chantait : « Il faut que tu respire, et c’est rien de le dire. Tu ne vas pas mourir de rire, et c’est pas rien de le dire… »

Eh bien, moi je dis que les pompons (qui s’agitent partout et disent l’exaspération citoyenne) valent mieux que leurs (mauvaises) raisons (de ne rien faire) !

Et que, malgré tout, il faut garder le sourire pour garder le moral. Ou l’inverse.

 

Source : Airparif

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